LAnniversaire De Marcel.
UNE FEMME AU FOYER TOUT A FAIT SOUMISE 7
{ Lanniversaire de Marcel. }
Cétait un vendredi à la fin de mon ménage chez Marcel, jétais entrain de lui pomper la bite à ce vieux cochon, lui il était assis dans son fauteuil, il me dit, (( il faudrait que je parle à ton mari, quil me téléphone, le mieux cest quil vienne me voir, )) je lui fit oui avec le tête tout continuant de le sucer. Je navais pas envi darrêter car javais du mal a le faire bander, et je navais pas envi de tout recommencer pour un simple oui. Au bout dun certain temps que je trouva fort long il jouit dans ma bouche. Je rentrais chez moi, il me fit promettre den parlé à mon maître. Le soir même au dîner, je dis à mon mari, (( chérie, Marcel aimerait te voir et jai limpression que cest urgent, dailleurs je voulais te parler de lui si tu le veux bien ))(( je passerais le voir ce week-end, tu veux me dire quoi sur lui,)) (( et bien ne le prend pas mal, mais ça fait quatre mois que je fais le ménage chez lui et que je lui passe ses envies à lui et à son pote Jean-marc. Je reconnais quau début jai pris du plaisir, mais maintenant cest un peu répétitif, )) (( quand tu couches avec moi et Patrick tu trouves ça répétitif ? )) Je lui fit non de la tête, (( Alors tu vois, je crois plutôt que ton problème cest quils sont vieux lun comme lautre, et ça te dégoûte et thumilie de faire les quatre volontés de Marcel et de son pote. Et cest dailleurs pour ça que tu continueras à les satisfaire, et si quand jirais voir Marcel il a des reproche à me faire à ton sujet, je te jure que tu feras plusieurs stages dans des maisons de retraite de ma connaissance et la tu nauras pas que deux vieux a satisfaire, tu as bien compris, )) (( oui chéri, tu sais bien que je ferais tout pour te plaire. )) Mon mari nétait pas vraiment fâché, mais il nappréciait pas que je revienne sur une de ses directives. Il me donnait un ordre et je lexécutais et je men voulais davoir pu le contrarier et sil décidait de me faire faire des stages en maisons de retraite, je sais bien quil en nest capable, et de plus sil me le demandait, jirai sans discuter.
Le samedi après midi mon mari alla chez Marcel, jétais un peu inquiète ce vieux salaud savait très bien que mon mari pourrait me punir sil avait des reproches à faire, et en plus je suis sur que ça lui ferait plaisir de mhumilier un peu plus. Il revint une bonne heure plus tard sans rien me dire, je suis sure quil le faisait exprès. Il ne fallait surtout pas poser de question, de toute façon si Marcel avait eu des reproches à faire il me les aurait fait, enfin je lespère. Je moccupais le reste de laprès midi pour pas trop y penser. Le soir nous sommes sortis avec des amis on est rentrés assez tard vers minuit une heure du matin. Arrivés à la maison mon mari cest installé dans le fauteuil, ma demandé un petit cognac puis de masseoir, (( je pense que tu a envie de savoir ce que ma dit Marcel, )) je fis oui de la tête, (( il ma dit deux choses, la première est que samedi prochain il veut fêter son anniversaire avec quelques amis de son âge, ils devraient être six avec Marcel, et il ma demandé si tu pourrai participer à sa fête, il voudrait que tu arrives juste après le déjeuner comme si tu étais le cadeau pour lui et ses amis, tu te doute que jai accepté et je veux que tu sois lesclave de Marcel et de ses amis, que tu sois totalement soumise à leurs envies, je veux quils se rappellent longtemps de ce jour, tu as compris ? )) (( Oui chéri jaccepterai tout même plus, et tu seras satisfait de moi )) ((pour la deuxième chose tu devrais être heureuse Marcel part le dimanche chez sa sur dans le midi, et tu ne devras plus aller faire le ménage chez lui pendant quelques temps, cela te donnera du cur à louvrage pour samedi.)) (( Non chéri pas si heureuse que ça, ma réaction était stupide je naurai pas dû. Je sais que ça te plait de me prêter a des vieux porcs comme Marcel, et je ne vis que pour te satisfaire. Je ne le ferais plus, tu es le maître et je suis lesclave, et pour la fête je serais la plus grosse salope et la plus grosse pute quils pourraient jamais imaginés, excuse-moi, )) il se pencha et membrassa, (( aller on va se coucher, tu va pouvoir tentraîner a être une grosse pute.
)) La semaine se passa assez calmement, mis a part que mon mari me trouva des heures de ménage chez un couple hommes homos du village voisin qui étaient très sympathiques. Je ne suis pas retournée chez Marcel de la semaine, il me dit quil voulait pas que je lui vide les couilles, et avoir la forme pour samedi. Je sus par mon mari, quil voulait que je fasse un strip-tease dès mon arrivée, je devais monter sur la table et me foutre à poil devant eux. Le samedi matin, je pris un bain puis je demandais à mon mari de maider pour choisir mes vêtements, je mis des bas noirs à résille, un porte-jarretelles noir en dentelle, et un soutien gorges à balconnets toujours noir. Mon mari me fit passer une culotte noire très fine par-dessus le porte-jarretelles. Je mis une jupe longue noire et fendue et un caraco rouge sang, il me fit mettre un collier noir qui faisait penser à un collier de chien ou plutôt pour moi un collier de chienne. Je mangeais un morceau léger vers midi je voulais être en forme car laprès-midi devrait être longue et je voulais absolument satisfaire mon mari, il mavait dit quun des gars aurait une caméra numérique et il pourra assisté à ma performance après. Vers quatorze heure trente le téléphone sonna, mon mari prit, en raccrochant il me dit, (( ils attendent leur désert, a toi de jouer. )) Arrivée chez Marcel, jouvris la porte avec ma clef, la table avait été mise au milieu de la salle à manger, Marcel trônait en bout de table assis dans son fauteuil roulant, à sa droite Jean-Marc, ce vieux dégueulasse qui adorait messuyer après que jai été piser. A sa gauche un vieux qui avait plus de soixante ans qui me sourit, à coté de Jean-Marc un homme dune cinquantaine dannée bien tassée qui était le boucher de mon village. Lui aussi me sourit je fus surprise de le voir là. En face du boucher un vieux dau moins soixante dix ans qui était assit sur un fauteuil roulant me sourit ses dents étaient toutes jaunes et à coté de lui un homme dune quarantaine dannée.
Il devait être très grand, il se portait bien on peu même dire quil était gros, le visage rougeaud très mal rasé. Marcel pris la parole, (( les gars je vous avais promis un dessert, le voilà je vous présente Monique la plus grosse salope que ma chienne de vie ma donné a rencontrer, et vous allez voir que je vous est pas menti, tu montes sur la table et tu nous fais un strip ma salope, Bernard mets la musique et prend la caméra, je lai promis à son mari, )) lhomme dune quarantaine ans dannée se leva pour appuyer sur le radio casette sur le buffet et prit la caméra. La musique démarrait, jenlevais ma veste, je montais dabord sur une chaise puis sur la table, tout en me trémoussant javançais vers eux, arrivée au milieu deux je leur dis, (( cest vrai je suis un grosse salope, une grosse pute, je suis toute à vous, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi, mes trois trous et tout mon corps, )) tout en dansant jenlevais mon caraco, des quils virent mon soutien gorge, Marcel dit, (( enlève moi ça, fait voir tes deux mamelles à mes potes )) je mexécutais en dégrafant mon soutien gorge, je pris mes seins et me mis à les palper puis je me mis à les porter à ma bouche et je suçais mes tétons, je fis glisser ma jupe à mes pieds, et je descendais tout doucement ma culotte, ils nen pouvaient plus, ils sifflaient tout en applaudissant. Je me remis droite avec la culotte dans la main que je fis tourner avant de lenvoyer vers Marcel. Les trois hommes valides étaient debout et me caressaient les cuisses et les fesses, (( alors les mecs, je vous lavais pas dit quelle était bandante cette salope, tourne toi ma grosse que tous mes potes te vois bien, son mari la surnomme sac à foutre ça vous dit. )) Je me mis a tourner sur moi-même, ils me demandèrent décarter les fesses, ces vieux cochons nen pouvaient plus, (( bon maintenant quon sest bien rinces les yeux, tu vas descendre ma grosse pute, quon puisse te tripoter.)) Jean-Marc me tendit la main pour maider à descendre, des que je fus à terre, les hommes valides mentourèrent, des mains se promenaient sur tout mon corps, des doigts sinsinuèrent dans ma chatte mon cul, et il malaxèrent mes seins, le vieux en fauteuil roulant savança devant moi et tendit la main, (( écarte tes cuisses que puisse rentrer mes doigts dans ta chatte, )) je mexécutais, il fourra trois doigts sans ménagement.
Ce petit jeu dura un petit moment, puis un des hommes dit (( et les mecs cest quand même lanniversaire de Marcel, il pourrait en profiter aussi, allez ma salope tu vas bien pomper, )) il me poussèrent vers Marcel, il était dans son fauteuil roulant et il les regardait entrain de tripoter. Je mapprêtais à me mettre à genoux, ils préférèrent que je me penche sur lui, donc jétais courbée vers Marcel les deux mains prenant appuient sur les bras du fauteuil roulant, ils me firent écarter les jambes, Marcel sortie sa queue que je me mis a sucer, derrière moi ils se reliaient pour me foutre leurs doigts dans le cul et la chatte, dautres mains me malaxaient les seins, et dautre me pinçaient les tétons ou me les tiraient en les secouant dans tous les sens. Je ne peux vous dire combien de doigts ont fourragé dans mon intimité, il y en avait beaucoup. Je sais que le vieux en fauteuil roulant, qui sappelait Jean était souvent derrière moi pour me mettre ses doigts tout maigres et parcheminés dans la chatte. Pour Marcel, il bandait pour une fois très dur ça devait être lexcitation de voir ses potes joués avec moi. Qui le mettait dans cet état là ! Il haletait de plus en plus, ses potes lencourageaient et mencourageaient de la voix, (( vas y grosse pute ! Pompe la sa queue, )) (( cette salope cest un vrai aspirateur a bite, elle va lui vider les couilles, )) il eut un râle, et il déchargea dans ma bouche, (( vous allez voir les mecs elle avale ça comme du yaourt, )) je me relevais et entrouvrir la bouche pour leur faire voir tout le foutre, puis je lavalais en passant ma langue sur mes lèvres. Jean-Marc et le boucher qui sappelait Robert et lautre vieux valide qui se nommait Georges me mirent à genoux, et Robert me dit, (( on a vu que tu tarrangeais avec une bite, fait nous voir avec trois comment tu te débrouilles, )) les trois queues se trouvaient très près de mon visage. Jean-Marc qui était au milieu menfonça sa bite dans la bouche, je branlais les deux autres, Bernard tenait la camera, javais limpression de tourner un film porno, jentendis Jean ou plutôt son fauteuil passer derrière moi, je sentis ses doigt sur mes fesses, Marcel parlait à Bernard qui rallait un peu de ne pas participer, (( continue de filmer pour linstant, tu sais bien que cest la seule condition que nous a donné son mari pour avoir cette pute pour laprès midi, mais quand les trois en auront fini avec elle, tu pourras en faire ce que tu veux, et je reprendrais la caméra pour que tu ai les mains libre. )) Je les pompais et les branlais à tour de rôle, puis Robert et Jean-Marc décidèrent de me mettre leur deux queue en même temps dans la bouche, ils appelèrent Bernard pour quil filme en gros plan ma bouche se déformer. Ils me tenaient la tête, et rentraient leur bite dans la bouche, javais les joues gonflées et la commissure des lèvres qui me tirait à me faire mal, je ne pouvais plus les sucer, ils étaient arrivés à me rentré de force leurs deux queue dans la bouche. Ils se marraient comme des baleines, et invitaient les autres à venir voir, (( venez voir cette grosse chienne avec deux bites dans la gueule)) javais du mal à respirer, et ces deux porcs continuaient à menfoncer leurs bites au fond de la gorge. Marcel et Georges sen rendirent compte que je métouffais, ils les écartèrent brutalement pour que je puisse reprendre mon souffle, Georges maida à me relever et me tendit un verre deau, Marcel me dit daller massoire pour que je puisse me remettre, Robert et Jean-marc sexcusèrent, un peu comme des petits garçons pris en faute, (( bon les gars, on nest là pour samuser et pour profiter de Monique, si lon allait dans la chambre, je suis sûr que vous trois vous avez plein de vigueur pour satisfaire les trois trous de notre salope. )) Arrivés dans la chambre de Marcel, Georges se mit sur le lit la queue bien dressée en lair, (( vient ma salope tempaler sur ma bite jai très envie que tu me baise, )) je montais sur le lit et me mis au-dessus de lui accroupie. Il rentra sa queue dans ma chatte, je commençais à faire un mouvement de va et viens sous le regard des cinq autres. Georges me palpait les seins, assez rapidement je fus arrêtée dans mon mouvement par Jean-Marc qui se plaça derrière moi, (( eh Georges ! Si on se la partageait ?)) Georges me fit un sourire désolé, et il prit mes deux fesses et les écarter, Jean-Marc me rentra sa bite dans le cul, et ils commencèrent à me défoncer la chatte et le cul en même temps, ils ne se débrouillaient pas vraiment bien, ça navait rien a voir avec mon maître et Patrick quand ils prenaient en double, ils avaient lhabitude et en plus ils ont de plus gros sexe, quoique Georges en à une de très belle taille. Quand on fait une double pénétration il faut être synchro quand lun rentre lautre ressort comme ça les deux hommes prennent leur pied et la femme aussi, là Georges et Jean-Marc me baissaient et menculaient en même temps, je leur dis et ils se mirent à le faire, enfin surtout Georges et je me suis rendu compte, quils avaient plus de plaisir et moi aussi. Ça à durer un certain temps et Jean-Marc déchargea dans mon cul en même temps que jeus un orgasme, je me mis a crier de plaisir, et Jean-Marc en était très satisfait. Il fut remplacé par Robert, il me rentra sa queue très facilement dans cul. Georges me baisait avec beaucoup de méthode et dapplication. Il me fit jouir, je me penchais vers lui et lembrassait à pleine bouche. Je me débrouillerais à le revoir après cet après midi, je suis sûr quil en sera enchanté et on samusera bien tous les deux, je nen parlerais pas à mon mari, je peu avoir des petits secrets non ! Comme Georges est à la retraite on pourra peut être se voir dans la journée, Robert pendant ce temps là menculait de plus belle. Au bout certain temps Georges jouit abondamment en moi, il se retira de dessous et me laissa à quatre pattes pour que Robert puisse me défoncer tout à son aise, puis ce fut le tour de Robert de jouir. Il avait sorti sa queue de mon cul, et me fit me retourner il se branlait un instant puis il jouit sur mes seins et mon ventre. Javais du foutre qui coulait entre mes cuisses et sur le ventre. Ma chatte était pleine de sperme, et mon cul était très dilaté et il en coulait du foutre aussi, Marcel me dit, (( ma salope tu ne vas pas laisser ce bon sperme, et je sais que tu aime ça, ramasse le foutre avec ce verre et tu mavale le tout, )) il me tendit un verre, et je me mis à recueillir le sperme comme je pouvais sous leur yeux qui ne perdaient pas une miette de ma récupération, je commençais par mes seins puis mes cuisses puis je passais le verre sur ma chatte plusieurs fois, je passais mes doigts entre mes fesses pour récupérer le foutre qui coulait de ma rondelle pour le mettre dans le verre, jen avais recueilli un peu plus de la moitié du verre, ça en faisait pas mal, (( regardez les mecs le sac à foutre a une petite soif, aller ma grosse salope avale. )) Je mexécutais, sous les yeux de ces six vieux salauds et de la camera, quand jeu fini Jean-Marc me dit, (( il en reste dans le verre avec tes doigt tu me racle le fond et tu te lèche les doigts comme une pute, )) je fis comme il demandait puis vidais le verre. Marcel dit, (( il faudrait penser à ceux qui ne sont pas passés dessus, Jean et Bernard, )) Bernard passa la caméra à Robert, il me dit de me mettre le cul en lair, et la tête pendante en dehors du lit de façon à avoir la tête au niveau de lentre jambes de Jean. Il mit son fauteuil roulant accolé au lit, et sortit sa bite qui était très petite avec des couilles toutes dessécher, sétais la premier fois que je devais sucer une queue aussi vieille. Je la pris dans la bouche en entier, Bernard se mit derrière moi et rentra sa queue dans ma chatte. Sans la voir je pouvais sentir que cétait la plus grosse des six et en plus la plus longue et il commença a fourrager dans ma chatte de plus en plus vite. Bernard me secouait tellement, que je ne pouvais plus sucer Jean, il décida que je le sucerais après. Donc je me mis vraiment à quatre pattes au milieu du lit, et Bernard continuait à me baiser. Tout en me défonçant la chatte il introduisit deux doigts puis trois dans mon cul et il les faisait rentrer sans ménagement. Cela dura assez longtemps. La plupart des hommes étaient partis dans la salle à manger pour se restaurer sauf Jean et Marcel qui regardait tout en filmant, Bernard me demanda de me retourner pour que je le suce, et la je vis son sexe vraiment, il était monté comme un âne, une queue énorme longue et grosse à la fois, il me présenta ce manche, je le pris dans la bouche, jarrivais à peine à avaler la moitié de sa queue. Il mattrapa la tête et commença à me baiser dans la bouche, il cognait au fond de ma gorge à chaque va et vient. Au moment de jouir il sortit sa queue pour décharger sur mon visage. Je dus enlever le foutre avec mes doigts puis les léchés, javais du sperme plein les cheveux. Je nen pouvais plus, javais les cuisses et les mollets qui étaient douloureux, et mes orifices qui avaient subit un traitement de choc en très peu de temps, malgré mon entraînement, jétais assise sur le lit les jambes écartées et repliées sur moi. Marcel continuait à filmer il me demanda décarter ma chatte pour voir lintérieur. Ce que je fis et il zooma dessus, puis il rendit la caméra à Bernard. Jean dit, (( elle a du sperme partout cette cochonne )) (( oh ! Ne tinquiète pas elle connaît la maison elle va prendre une douche et Jean-Marc et Robert vont laider. Hein ? Ma grosse salope que tu aime prendre des douches ici ? )) Je fis un signe oui avec la tête à Marcel, je me levais et me retrouvais très rapidement sous la douche, Jean-Marc fut le plus prompt a se déshabiller, il rentra sous la douche et se mit a me frotter les seins avec du savon, Robert nous rejoignit et se mit à me savonner les fesses puis il me demanda décarter les jambes, et il se mit a me passer le savon et les doigt dans la chatte, les quatre hommes nous regardaient, et Marcel dit, (( Robert insiste bien sur son cul, Bernard veut se la faire et vu le pieu quil a, il faudrait lui dilater la rondelle pour que ça passe, )) et il se mirent à rire, Robert ne se fit pas prier il savonna mon cul, il me demanda écarter les fesses avec mes mains, je les écarta au maximum, et il se mit à me rentrer ses doigt dans mon cul avec du savon, Jean-Marc lui sétait mit à soccuper de ma chatte avec le savon. Après ce traitement nous sortîmes et Georges me sécha avec une serviette, arrivée dans la salle à manger Marcel moffrit un morceau de son gâteau danniversaire, Robert vint sasseoir près de moi pour parler, (( je ne pouvais pas imaginer que tu étais salope à ce point là, javais bien vu quand tu venais me prendre de la viande à la boutique que tu ne portais pas de soutif, dailleurs le jeune qui maide avait demandé de pouvoir te servir pour pouvoir admirer tes nichons. On va pouvoir se voir plus souvent maintenant, )) (( je métais rendue compte que je lui faisais de leffet à ce jeune, mais ce voire plus souvent tu veux dire quoi par la ? )) (( Je veux dire quaprès cette journée, tu pourrais passer à la boutique le matin on senverrait en lair. )) (( Pour ça il faut en parler à mon mari car je fais ce quil veut et seulement ce quil veut. Marcel a fait comme ça, mais il y a du monde dans ton magasin, dabord ta femme puis ce jeune dont tu me parle et puis la jeune fille qui tient la caisse ? )) (( Pour ma bourgeoise, cette grosse vache elle ne décolle pas avant onze heure du matin, pour la gamine pas de problème elle est là depuis deux ans. Elle avait seize ans quand elle a commencé et elle a besoin de travailler comme elle sest barrée de chez ses parents elle a besoin de fric, je lai dressé comme il faut, dailleurs tous les jours elle me fait une petite pipe. Au début elle a eu du mal mais maintenant je nai plus besoin de lui demandé. Et le jeune il est encore plus salaud que moi, il a décidé de lui dilater le cul. Alors depuis un mois tous les jours à sa pose de dix heures il la fait se pencher sur la table de travail et il lencule de bon cur. Bon la petite a pleuré au début mais maintenant cest comme pour la pipe elle si ai faite. Alors tu vois pas de problème pour que tu passes mais de toute façon il vous sera difficile de refuser, jen parlerai à ton mari, )) et il séloigna, mon pauvre vieux Robert ça métonnerai que mon mari accepte un chantage quel quil soit. George sapprocha de moi et me caressa le sein droite avec beaucoup de gentillesse, et il me dit, (( je suis très heureux de tavoir rencontré, jespère que tu accepteras quon puisse se revoir, )) (( les grands esprits se rencontrent, je pensais la même chose, il faudra mettre ça au point avant que je parte, )) (( je sais par Marcel, quil faut demander lautorisation à ton mari, jespère vraiment quil ny verra aucun problème, )) (( pour toi je crois que je vais faire une exception, je ne suis pas obligé de lui dire, mais il faut que lon se voit dans la journée, )) (( jai hâte quon se retrouve tous les deux chez moi,)) il membrassa et parti rejoindre les autres. Robert et Jean-Marc revenaient de la cuisine avec du champagne, Jean-Marc se mit à ouvrire les bouteilles, Marcel prit la parole, (( Messieurs pour arroser ce bel après midi je vous demande de lever vos verres, mes avant je demanderai à Bernard de se mettre en position pour accueillire notre esclave du jour, )) Bernard donna la caméra à George, et sallongea sur le tapis de la salle à manger et commença à se masturber vigoureusement, Marcel reprit, (( Jean-Marc et Robert veuillez aider notre salope à sasseoir sur son trône. )) Ils me prirent tous les deux et me portèrent vers Bernard, un peu comme une chaise, chacun mavait pris une cuisse et javais passé mon bras autour de leur tête au niveau de leur cou. Bernard continuait a se branler et sa queue ressemblait à un pieu dressé vers le ciel. Ils mavaient positionné au-dessus de Bernard et surtout de son membre et je me doutais ou il avait lintention de me le mettre, Marcel prit la parole, (( Messieurs, Bernard à très envie de lui ramoner le fion, je ne pouvais pas lui refuser, Messieurs veuillez procéder à lenculage de cette salope, )) ils me firent descendre vers ce pieu, Bernard positionna son membre devant ma rondelle, et ils me firent menculer sur sa queue le plus loin possible, la dernière fois ou jai été dilatée autant cétait quand mon mari et Patrick avaient fait rentrer une grande bouteille de coca dans mon cul. Ils se mirent à monter et descendre sur ce membre, les autres sauf George qui filmait, buvaient du champagne tout en appréciant le spectacle, les deux hommes qui me portaient nen pouvaient plus à la longue, ils me dirent de continuer seule. Bernard replia ses jambes de façon a ce que je puisse prendre appuie sur ses genoux, et je continuais à me faire défoncer le cul par cet énorme pieu. Bernard magrippa les hanches et jouit dans mon cul en poussant des grognements. Je me retirais et mécroulais sur le tapis, javais les cuisses et mollets qui me faisaient mal, et le cul béant ou coulait le sperme de Bernard, je réalisais que Jean-Marc, Robert et George, étaient autour de moi et se branlaient, je me redressais difficilement pour me mettre à genoux fasse à eux, (( tu voies Robert on na même pas besoin de lui dire elle est toujours prête à ouvrir la gueule pour avaler du sperme, )) jouvris la bouche et tira la langue, ils déchargèrent presque ensemble, je reçus le foutre dans la bouche, sur le visage et sur les seins. Jean savança vers moi avec son fauteuil roulant il avait descendu son pantalon et se branlait, il me dit (( avale le sperme que tu as dans la bouche et suce moi, )) je mexécutais, et me plaçais entre ses jambes et me mit à pomper sa vieille queue, les autres se rhabillaient, je le suce un bon moment avant quil crache son sperme. Je nen pouvais plus mes jambes me faisaient mal, ma chatte était irritée et mon cul je nen parlerai pas tellement il était dilaté. Je massis sur une chaise et ils sont tous venus me dire au revoir, Georges me dit à loreille quil avait mis son numéro de téléphone dans mon sac et il attendait mon appel avec impatience. Restée seul avec Marcel il me proposa de reprendre une douche jacceptais de bon cur, bien entendu il assista à ma douche, puis je lui fit le plaisir daller faire pipi devant lui pour quil puisse messuyer. Il prit beaucoup de satisfaction à passer le papier toilette sur ma chatte, il me demanda de venir avec lui dans la chambre, il se mit au lit sur le ventre et je dus lui lécher le cul et lentre jambes un bon moment, puis il se retourna et je me mis à le pomper en lui caressant les couilles il jouit dans ma bouche, il me dit, (( bon ma chérie, je te donne la caméra de ton mari jespère que le filme sera bon, tu nous excuseras auprès de ton mari si les images sont moyennes on nest pas des pros, tu reprendras tes visites à mon retour de chez ma sur, )) je me rhabillais puis lembrassait avant de partir, il était déjà dix huit heure, le soir même mon mari visionna le film, lui assit dans le canapé moi entre ses jambes à genoux tout à le sucer et lui lécher les couilles, il régla le petit problème de Robert dans la semaine, je nai jamais su ce quil lui avait dit , je nen nai plus jamais entendu parler, jai bien entendu rappelé Georges mais ceci est une autre histoire.
MONIQUE.
admin
Jan. 31, 2023
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